Dernière mise à jour le 31 octobre 2021
Efficaces mais rejetés: mélatonine, vitamine D, zinc, quercétine, Ivermectine…
Le site «c19early.com»1 recense les molécules repositionnées et les suppléments bénéfiques dans la prévention et le traitement du Covid-19, des centaines de recherches à l’appui. Difficile de prétendre que tous ces scientifiques sont des charlots.
Vous a-t-on conseillé une supplémentation en vitamine D? Non, et c’est bien dommage, car sa carence, fréquente dans la population, est étroitement liée à la gravité de la maladie2. Au Royaume-Uni, plusieurs millions de personnes fragiles en recevront à titre préventif.
Nos autorités sont étonnamment muettes sur les alternatives au vaccin. Pire, elles font taire les praticiens qui émettent des doutes avec des amendes allant jusqu’à 20 000 CHF. L’exemple de l’Ivermectine est des plus éclairants. Ce médicament utilisé depuis des décennies est réputé sans effets secondaires. Un éminent médecin japonais, Haruo Ozaki, président de l’Association médicale métropolitaine de Tokyo, le recommande sans réserve. Il affirme: «dans les pays qui donnent de l’Ivermectine, le nombre de cas est de 134.4 pour 100 000 et le nombre de décès est de 2.2 pour 100 000. Dans les pays qui n’utilisent pas l’Ivermectine, le nombre de cas est de 950.6 et le nombre de décès est de 29.3.» Sur le plan de la santé, le risque est nul alors que les potentiels sont immenses. En France, l’Institut Pasteur, à la pointe en matière vaccinale, admet du bout des lèvres qu’il faut creuser le sujet. En Suisse, le médicament est interdit pour le traitement du Covid-19 et a fait l’objet d’une campagne de dénigrement sans précédent, alors qu’il est classé médicament essentiel par l’OMS3.
J’aimerais savoir pourquoi, en relation avec cette pandémie, on vit une telle rage et un tel mépris envers toute personne du corps médical ou pharmaceutique qui propose des soins et des remèdes autres que le vaccin?
Suzette Sandoz, ancienne conseillère nationale, ancienne députée et professeur honoraire de droit
Pourquoi ne pas tout tenter dans cette période de crise? Sans doute par le jeu des lois et des contrats. Ces vaccins expérimentaux ne sont autorisés qu’au motif légal d’une situation exceptionnelle et en l’absence d’autres médicaments4. Les traitements alternatifs existants menacent donc ces agréments fragiles de mise sur le marché. Dans le même temps, les autorités sont tenues par des contrats qui dépassent la raison: les fabricants sont déliés de toute responsabilité, ne garantissent pas les résultats, ont plein pouvoir sur le nombre de doses livrées, les délais et les coûts 5 parmi d’autres exigences secrètes probablement délirantes.
Les pharmas ont socialisé les risques et privatisé les profits, comme le pointe avec pertinence l’ONG suisse «Public Eye»6. Lorsque les vaccins ont augmenté de 26 % en pleine vague «en raison des variants» — alors qu’aucune adaptation de la formule n’a eu lieu — personne n’a bronché. Le peuple a déjà oublié. Les médias regardent ailleurs. Le gouvernement botte en touche, tout comme il le fait sur les effets secondaires qu’il est censé surveiller, mais aussi indemniser. Un évident conflit d’intérêts que personne ne relève. La Suisse a commandé 14 millions de nouvelles doses pour 2022 et 2023. Pensez-vous vraiment que la recherche de traitements alternatifs non coûteux soit alors une priorité?
Vidéo
Haruo Ozaki, Président de l’Association médicale métropolitaine de Tokyo, renouvelle son soutien à l’Ivermectine en conférence de presse le 12 octobre 2021. L’enthousiasme et l’ouverture d’esprit de cet éminent médecin japonais, en charge des politiques de santé publique pour une agglomération qui compte 42 millions d’habitants – soit presque 5 fois celle de la Suisse –, devrait susciter des questions au sein de nos autorités. C’est exactement cette curiosité scientifique et cette volonté d’exploration qui font défaut aujourd’hui dans notre pays. Cette vidéo a été publiée et traduite par le site ivermectine-covid.ch.
Références citées dans le texte
- https://c19early.com
- https://c19vitamind.com
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_modèle_de_l%27OMS_des_médicaments_essentiels
- https://www.swissmedic.ch/swissmedic/fr/home/news/coronavirus-covid-19.html
- https://www.citizen.org/article/pfizers-power/#_ftn14
- https://www.publiceye.ch/fr/publications/detail/big-pharma-takes-it-all
Autres liens utiles
- Pfizer a annoncé le 5 novembre 2021 que son nouveau médicament «Paxlovid» réduit le risque d’hospitalisation et de décès de 89%. On continue à vacciner tout le monde?
- https://vitamindforall.org/letter.html – 200 médecins appellent à prescrire de la vitamine D.
- Le comité en charge de la santé au sein du Parlement irlandais recommande au gouvernement d’utiliser la vitamine D dans sa stratégie sanitaire de lutte contre le Covid-19 et les maladies respiratoires – Rapport officiel.
- Repositionnement efficace de la fluvoxamine, un antidépresseur pour la prise en charge précoce des malades du Covid-19 – Parution dans la prestigieuse revue The Lancet – Octobre 2021.
- L’Association des médecins de famille en Allemagne a inclus la fluvoxamine dans ses directives de traitement Covid-19 (ainsi que le budésonide inhalé, médicament utilisé dans le traitement de l’asthme).
- Protocoles de prévention et de traitement pour COVID-19 – La FLCCC alliance est un groupe de sept médecins de haut vol. Ils ont formalisé des protocoles de soins, basés sur des médicaments repositionnés et des supplémentations, après avoir constaté les bénéfices de ces thérapies chez leurs propres patients.
- Le Nebraska a redonné aux médecins, le 14 octobre 2021, la liberté de prescrire l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, sous réserve du consentement du patient, après une enquête minutieuse de son procureur général qui a conclu à l’absence de danger.
- L’Hôpital Riviera-Chablais, après avoir prescrit de l’Ivermectine, a fait marche arrière en septembre. «Seules les recommandations nationales et internationales concernant le traitement du COVID-19 doivent guider la prise en charge…» a justifié son porte-parole.
- Le médecin cantonal de Genève a exigé des pharmacies qu’elles ne délivrent plus d’Ivermerctine ou d’hydroxychloroquine pour le traitement du Covid-19 sous peine de sanctions.
- Suzette Sandoz, ancienne conseillère nationale, ancienne députée et professeur honoraire de droit, s’interroge sur son blog: «j’aimerais savoir pourquoi, en relation avec cette pandémie, on vit une telle rage et un tel mépris envers toute personne du corps médical ou pharmaceutique qui propose des soins et des remèdes autres que le vaccin?»
- Des députés européens dénoncent l’opacité des contrats entre la Commission et les pharmas – Sur CovidHub.ch, site de référence sur l’actualité du Covid-19 en Suisse romande et dans le monde.