27 novembre 2021
La troisième dose recommandée pour tous
Le 26 octobre 2021, l’Office fédéral de la santé publique préconisait une vaccination de rappel aux plus de 65 ans. Hier, très exactement un mois plus tard, l’OFSP recommandait le «booster» à l’ensemble de la population pour «diminuer la transmission», alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) signalait cette semaine encore sa faible efficacité en la matière et invitait les pays riches à faire preuve de solidarité envers les pays pauvres en ne s’appropriant pas toutes les doses. L’OFSP conclut sur cette note discriminatoire: «La vaccination des personnes non vaccinées reste déterminante pour sortir de la pandémie de COVID-19», étant ici sous-entendu que les personnes ayant refusé l’injection pourraient être coupables du pire à venir. Pour mémoire, le même jour, on nous annonçait l’apparition du variant Omicron, ultra-contagieux, qui possède tant de mutations sur la protéine de pointe que les vaccins actuels semblent inefficaces. En synthèse, l’OFSP navigue à vue et tente de garder le contrôle de la flambée prévisible de l’hiver. Les autorités poursuivent dans une approche du «tout vaccinal», basée sur des raisonnements scientifiques fragiles, dont le résultat est incertain. Elles entendent bien blâmer les personnes non vaccinées, sans jamais remettre en question leur gestion délétère de la crise, qui passe notamment par la diminution des lits aux soins intensifs ou l’interdiction d’autres traitements qui auraient pu s’avérer bénéfiques. Dans cette logique où le non-sens l’emporte, le certificat COVID pourrait bien être rapidement conditionné à l’acceptation du «booster».
25 novembre 2021
Appel du Professeur Christian Perronne à la population suisse
Le Professeur Christian Perronne, une sommité mondiale en matière vaccinale, ayant œuvré au sein des plus grandes organisations de santé publique, adresse un vibrant appel à la population suisse sur le site CovidHub. Nous nous permettons, au vu de son importance, de le reproduire ici.
Chères citoyennes et chers citoyens de Suisse,
Vous allez voter ce dimanche sur les durcissements de votre Loi Covid, et en particulier sur l’imposition du pass sanitaire.
Votre démocratie vous le permettant, nombre d’entre vous ont voulu un référendum pour contester ces mesures. Le monde entier a désormais le regard posé sur vous.
Je suis médecin, enseignant et chercheur, spécialiste des maladies infectieuses. J’ai présidé pendant quinze ans la commission en charge de la réponse sanitaire aux épidémies et de la politique vaccinale en France, en plus d’avoir été vice-président du groupe d’experts sur les vaccins à l’OMS pour l’Europe.
Vous devez savoir un certain nombre de choses avant de voter.
Il est bien de vous prononcer, mais si les médias ne donnent pas les bonnes informations, il est difficile de le faire en connaissance de cause.
Tout d’abord, le «pass sanitaire» appelé chez vous «certificat Covid» n’a rien de sanitaire. C’est une mesure politique de coercition. Les «vaccinés» peuvent se contaminer, tomber malades du Covid, et même développer des formes graves de la maladie. C’est bien la preuve qu’il ne s’agit pas de vaccins. Multiplier le nombre d’inoculations ne changera rien.
De plus, les «vaccinés» peuvent contaminer les non vaccinés.
La contagiosité des dits «vaccinés» et des «non vaccinés» étant la même, le pass sanitaire instaure une discrimination grave, sans aucune utilité sur la santé des citoyens.
Cette mesure de contrainte vise à forcer la population à accepter ce qui est présenté comme un vaccin par une forme de chantage, ce qui est illégal en plus d’être honteux.
Les produits qu’on veut vous injecter, appelés à tort «vaccins», sont des substances géniques expérimentales, qui modifient le fonctionnement de vos cellules. Au mépris du principe de précaution, puisque les risques sont importants à court terme et inconnus à moyen et long terme. Imposer à la population de se soumettre à une expérimentation médicale de phase 3 est rigoureusement interdit par le Code de Nuremberg et la Convention d’Oviedo, ratifiés par nos pays.
De plus, on n’a pas le droit d’octroyer une autorisation conditionnelle de commercialisation d’un vaccin s’il y a des traitements efficaces – efficacité attestée par des centaines d’études. Des pays comme le Japon ou des territoires comme l’Uttar Pradesh en Inde ont éteint l’épidémie avec des médicaments bon marché et efficaces, interdits chez nous pour garantir l’imposition de la pseudo-vaccination.
On peut observer que les pays pauvres peu ou non «vaccinés» n’ont aujourd’hui plus de problème Covid, alors que les pays ou régions ayant pratiqué des «vaccinations» massives (comme le Royaume Uni, Singapour, l’Islande, l’Etat américain du Vermont, Israël…) connaissent des flambées d’infections et de morts.
Dans les services de réanimation de certains pays, les «vaccinés» sont largement majoritaires. Il suffit de regarder les cartes du monde pour constater que la «vaccination» de masse déclenche, redéclenche ou entretient l’épidémie.
En Suisse, tout comme en France, l’épidémie est actuellement au niveau de n’importe quelle infection respiratoire banale et la mortalité est extrêmement faible.
En France, il n’y a plus que quelques dizaines de morts par jour (46 mi-novembre contre 317 début janvier) ». Et comme dans toutes les épidémies du passé, les virus développent des variants de moins en moins virulents.
La politique menée depuis bientôt deux ans dans nos pays est absurde et inefficace. Si nous avions simplement laissé le nouveau virus circuler, protégé les groupes à risque, isolé et soigné les malades, nous aurions connu un minimum de dégâts. Ce sont les mauvaises mesures politiques qui se sont montrées et se montrent encore les plus destructrices.
Pour toutes ces raisons, je vous invite à voter NON au durcissement de votre Loi Covid le 28 novembre prochain, et donner le signal du retour à la raison et à la vraie science parmi les nations.
Professeur Christian Perronne
24 novembre 2021
Est-ce que les vaccins protègent du Covid long?
Article captivant paru dans la revue scientifique «Nature» qui s’intéresse à la survenance de Covid longs chez les personnes vaccinées et infectées. La théorie voulait que les vaccins puissent les empêcher. Des praticiens témoignent aujourd’hui que ce n’est pas le cas. Deux études mentionnées dans l’article divergent dans leurs conclusions: pour l’une, le vaccin n’empêche aucunement le Covid long; pour l’autre, il diminue de moitié la probabilité d’avoir des symptômes qui persistent durant de longues semaines.
22 novembre 2021
Trusted News Initiative: quand la censure devient légitime
Le «filtrage» des informations est désormais devenu la norme. Twitter, Facebook, YouTube suppriment ou censurent des comptes qui remettent en question la narration officielle. Les médias mainstream, dociles passe-plats, propagent un discours unique avec une synchronisation orchestrée par les grandes agences de presse qui alimentent leurs colonnes. Le formatage de la parole a un nom: la «Trusted News Initiative». Ce partenariat entre grandes agences de presse, médias et réseaux sociaux, initié par la BBC, vise à combattre «la désinformation anti-vaccin», entendez par là toutes les voix qui s’écartent du discours dominant. Cette courte vidéo, traduite par ivermectine-covid.ch, synthétise avec justesse les mécanismes de cette organisation qui règne dans l’ombre. Beaucoup de gens ignorent jusqu’à son existence tout en subissant quotidiennement les effets de cette grande laverie des idées.
21 novembre 2021
Ce contre-exemple suédois que les médias ne veulent pas voir
Très bon éclairage de Claudina MICHAL-TEITELBAUM sur le cas suédois. Le pays nordique a essuyé les critiques les plus vives pour ne pas s’être plié aux mesures de restrictions qui avaient cours dans les autres nations. Au final, il semble bien qu’il ait eu raison. Les cas sont au plus bas, et les décès aussi, alors que les habitant·e·s n’ont jamais eu à subir de confinement ni à porter de masque.
21 novembre 2021
Opinion dans The Lancet: stigmatiser les non-vaccinés n’est pas justifié
Aux Etats-Unis et en Allemagne, des responsables de haut niveau ont utilisé l’expression «pandémie des non-vaccinés», suggérant que les personnes qui ont été vaccinées ne sont pas pertinentes dans l’épidémiologie du COVID-19. L’utilisation de cette expression par les officiels a pu encourager un scientifique à affirmer que «les non-vaccinés menacent les vaccinés pour le COVID-19». Mais cette vision est beaucoup trop simple.
19 novembre 2021
En 2020, seulement 2.9% de patients Covid dans les hôpitaux suisses et une diminution de l’occupation
L’Office fédéral de la statistique a publié les chiffres d’occupation des hôpitaux suisses en 2020. Il écrit: «Pour la première fois depuis 2011, le nombre de personnes hospitalisées a diminué en 2020 […] et cela de 5.8% par rapport à 2019. Les personnes positives au COVID-19 ont représenté 2.9% des hospitalisations et 4.2% des journées de soins.» Des chiffres qui corroborent notre analyse et montrent bien que la surcharge hospitalière liée au Covid-19 est entièrement fabriquée.
19 novembre 2021
Philippe Saegessaer : «Madame, monsieur, vous acceptez d’entrer le cadre d’une expérimentation vaccinale. Est-ce qu’on dit ça aux gens?»
Le vidéaste fribourgeois Alain Volery, qui a réalisé l’excellent documentaire WHY, pointe sa caméra sur le médecin vaudois Philippe Saegesser, avec une interview d’avant votation. 30 minutes de respect pour l’opinion des autres, de mots subtilement choisis et d’une humanité solaire. Cet homme fait chaud au cœur. A voir absolument.
18 novembre 2021
Effets secondaires: les vaccins sont-ils si sûrs?
Jamais, dans toute l’histoire de la médecine, un vaccin n’aura généré de telles remontées acides dans les bases de données de pharmacovigilance. En moins de deux ans, les vaccins Covid-19 totalisent dix fois plus d’événements indésirables que le vaccin de la grippe au cours de 50 années d’utilisation. Ouch! Comme les déclarations sont principalement volontaires et émanent directement de patient·e·s, il est possible que le lien entre le vaccin Covid-19 et un effet indésirable ne soit pas toujours avéré dans certains cas. Néanmoins, le surnombre des signalements est si important que la «sûreté» proclamée par les autorités semble provenir d’une réalité alternative. @GabinJean3 a produit un excellent fact-check sur Twitter, dans lequel, arguments et contre-arguments à l’appui, il démontre que l’innocuité des vaccins est loin d’être garantie.
18 novembre 2021
Frank Scheffold : “Le Conseil fédéral devrait se demander comment il peut ou veut inverser le processus rampant des restrictions souvent arbitraires à la liberté”
Enfin une voix scientifique qui s’exprime sans crainte de l’opprobre ou d’attaques ad hominem. Frank Scheffold, professeur de physique à l’Université de Fribourg, signe une opinion acérée dans les pages du Neue Zürcher Zeitung. Le chercheur observe un processus de découplement entre la lutte contre la pandémie et la vaccination de masse. A ses yeux, la vaccination généralisée devient une mesure de gestion sociétale indépendante d’un objectif sanitaire qui ouvre la porte à des dérives autoritaristes. «La question se pose de savoir si une grande partie de la population devra se faire vacciner tous les six mois sans aucun bénéfice médical discernable», s’interroge le scientifique qui invite le Conseil fédéral à se prononcer sur les obligations de rappel avant la votation du 28 novembre 2021.