Dernière mise à jour le 31 octobre 2021
Immunité naturelle: supérieure à la protection du vaccin
Durant de longs mois, les spécialistes nous ont affirmé que l’immunité spécifique du vaccin était largement supérieure à l’immunité naturelle. Aujourd’hui, plus de 91 études scientifiques1 prouvent le contraire : l’immunité naturelle des personnes guéries est en réalité plus complète et plus durable.
Tous les vaccins ARNm fonctionnent sur un même principe: nos cellules sont instruites pour fabriquer la protéine de pointe du virus, d’après la souche originale de Wuhan, afin que le corps développe des défenses dirigées contre elle. Seul écueil, la protéine de pointe varie légèrement d’une souche à l’autre. Avec le variant Delta, on constate des échappements vaccinaux et une diminution de l’efficacité du produit. En conséquence, aujourd’hui, les personnes vaccinées peuvent être infectées et contagieuses.
«Le but initial du vaccin n’a jamais été de lutter contre la contamination…»
Le vaccin du Covid ne vous protège pas de la maladie mais de ses formes graves – 19h30 de la RTS – 23 septembre 2021.
La RTS reconnaît en une seule phrase l’inefficacité du vaccin comme rempart à la contamination. Elle admet dans la foulée l’inutilité du Certificat Covid puisque tout le monde peut être infecté et contagieux. Il faut donc réserver le vaccin aux personnes à risque, puisque sa fonction vise uniquement à préserver des formes graves de la maladie.
De son côté, l’immunité naturelle repose sur la reconnaissance de la protéine de pointe, mais également sur d’autres caractéristiques et protéines du virus. Elle est plus apte à identifier les variants du SRAS-CoV-2 et à lutter contre eux.
«Les personnes guéries bénéficient d’une protection comparable à celle des personnes vaccinées avant d’avoir été infectées. D’un point de vue scientifique, rien ne s’oppose donc à une équivalence de la durée des certificats pour les personnes vaccinées et les personnes guéries.»
Rapport de la Task Force scientifique – 26 octobre 2021
Une recherche israélienne2, publiée le 25 août, concluait : «l’immunité naturelle confère une protection plus longue, plus durable et plus forte contre l’infection, la maladie symptomatique et l’hospitalisation par rapport à l’immunité induite par le vaccin à deux doses BNT162b2 (Pfizer)». A la fin du mois de septembre 2021, la société allemande de virologie préconisait, sur la base des plus récentes études, que «ceux qui se sont rétablis devraient être traités de la même manière que ceux qui ont été complètement vaccinés depuis au moins un an»3.
Le variant Delta a rendu l’immunité collective impossible à atteindre4. Comme le dit l’infectiologue genevois Didier Pittet, «le virus ne disparaîtra de toute façon jamais»5. Pour de nombreux épidémiologistes, seule l’immunité naturelle nous permettra de sortir de la crise. Deux doses, trois doses ou dix doses de vaccin n’y changeront rien!
Vidéo
Présentation sur la réponse médicale au Covid par le Dr Peter McCullough devant l’Association des médecins et chirurgiens des États-Unis. Ce cardiologue réputé est une pointure de la médecine académique avec plus de 650 articles à son actif dans le New England Journal. Son indice de Hirsch (indice ayant pour but de quantifier la productivité et l’impact d’un scientifique en fonction du niveau de citation de ses publications) est parmi les plus élevés au monde. Selon les termes de l’association ivermectine-covid.ch (qui a assuré le sous-titrage en français de sa présentation): «Cette présentation récente du Dr Peter McCullough est l’un des documents les plus importants que nous ayons traduits jusqu’ici. Tous les sujets importants sont abordés avec clarté: efficacité et sécurité des vaccins, traitements précoces, enjeux politiques, etc. A l’heure actuelle, nous ne connaissons pas de document plus complet et plus facile à partager avec n’importe qui: médecin traitant, proches, collègues.»
Intervention de Peter Doshi, Professeur à l’Université du Maryland et éditeur au British Medical Journal, lors d’un panel d’experts convoqué par le sénateur Johnson du Wisconsin. «Les études n’ont pas démontré une réduction de la mortalité, même pour les décès COVID. […] Ce que je veux dire n’est pas que je connais la vérité sur ce que le vaccin peut ou ne peut pas faire, mais ce que je veux dire c’est que ceux qui disaient que les vaccins étaient hautement efficaces et sauvaient des vies avaient tort.»
Note : cette vidéo a été censurée par YouTube le 13 novembre 2021. Elle est désormais hébergée directement sur notre site.
Références citées dans le texte
- https://brownstone.org/articles/79-research-studies-affirm-naturally-acquired-immunity-to-covid-19-documented-linked-and-quoted/
- https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.24.21262415v1
- https://g-f-v.org/2021/09/30/4411/
- https://www.blick.ch/fr/news/suisse/le-monde-navant-nest-pas-encore-a-portee-de-bras-limmunite-collective-est-un-mythe-dont-il-faut-faire-le-deuil-id16747969.html
- https://www.letemps.ch/evenements/didier-pittet-revenir-une-vie-normale-ne-sera-probablement-cas-lete-2022
Autres liens utiles
- Lors de l’événement «World Health Summit», qui s’est tenu à Berlin du 24 au 26 octobre 2021, Stefan Oelrich, le responsable de la division pharmaceutique de la firme Bayer, a souligné que les «vaccins» ARNm entraient dans la catégorie des thérapies géniques et cellulaires, n’en déplaise à tous les médias qui clament depuis des mois que cette dénomination est incorrecte et complotiste. Il s’est félicité de la bonne acceptation de ces technologies par le public alors «que si nous avions demandé aux gens, il y a deux ans, s’ils étaient d’accord de se faire injecter une thérapie génique ou cellulaire, nous aurions eu 95 % de refus». De notre point de vue, cet enthousiasme devrait être modéré par une simple dose d’honnêteté intellectuelle: la majeure partie des vacciné·e·s sont dans l’ignorance de ce qui leur a été injecté, car les autorités ont coiffé ces technologies du terme de «vaccins». Imaginez que l’OFSP communique demain sur le thème : «Prenez toutes et tous votre dose de thérapie génique». Est-ce que cela vous inspirerait confiance? Probablement pas. C’est pourtant bien ce type de traitements que nos autorités sanitaires nous demandent d’accepter. Elles n’ont rien à voir avec les bons vieux vaccins d’antan. Et c’est même un ponte de big pharma qui l’affirme et s’en réjouit. A vérifier sur YouTube.
- Une étude parue dans la revue scientifique «Nature», le 29 octobre 2021, évalue la durée de l’immunité naturelle à deux ans au moins.
- Le «British Medical Journal» a publié, le 2 novembre 2021, un article évoquant des possibles manipulations de données lors des essais du vaccin Pfizer, après les signalements d’une lanceuse d’alerte. Synthèse en français sur France-soir.
- Deux chercheurs ont scruté les chiffres de l’étude commandée par le gouvernement américain quant aux effets de la vaccination sur les femmes enceintes. Les deux scientifiques concluent: «Notre analyse indique une incidence cumulée d’avortement spontané 7 à 8 fois plus élevée que les résultats des auteurs originaux (p < 0,001) et la moyenne typique des pertes de grossesse pendant cette période.» Ils renouvellent les première alertes lancées par un médecin belge dans le «New England Journal of Medicine» sur la fiabilité des conclusions d’inocuité du vaccin en période de grossesse.
- Le vaccin du Covid ne vous protège pas de la maladie mais de ses formes graves – 19h30 de la RTS – 23 septembre 2021.
- Près de 13 000 médecins et scientifiques ont signé la «déclaration de Rome». Dans le respect du serment d’Hippocrate, elle exige l’abandon de la stratégie vaccinale de masse.
- En Suisse, 958 professionnels de la santé dont 136 médecins ont signé un moratoire alertant les autorités sur les dangers du vaccin et l’absence de consentement éclairé de la part des personnes ayant accepté l’injection.
- Le secrétariat du service juridique FMH a rappelé la nécessité du consentement éclairé du patient lors de la vaccination Covid. Il relève notamment que «Le médecin est tenu d’évoquer avec chaque patient la question de la nécessité et de l’utilité du vaccin dans sa situation particulière. Il cherchera à établir et à discuter avec lui les risques qu’il encourt du fait d’une infection par l’agent pathogène contre lequel le vaccin doit le protéger». Combien de personnes vaccinées ont-elles bénéficié d’un tel entretien dans le processus de vaccination désormais industriel?
- A la fin du mois de juin, la task force scientifique annonçait dans les médias un effet protecteur de 3 ans pour les vaccins. Une affirmation vraiment troublante: trois mois avant, lors du point presse du 20 avril 2021, Christoph Berger, président de la Commission fédérale pour les vaccinations, indiquait une durée de protection de 6 mois (voir sur YouTube), ce qui est officiellement rappelé par le procès-verbal de la task force du mois d’avril (voir page 48). Comment s’y retrouver dans toutes ces contradictions?
- En date du 21 octobre 2021, Waterford city a annoncé que le nombre d’infections enregistré dans ce district irlandais était le plus haut du pays. Or, plus de 99.7 % de la population des plus de 18 ans y est vaccinée. Singapour, avec 88.6 % de couverture vaccinale, a connu en octobre 2021 la même hausse vertigineuse de cas.
- Une étude publiée dans la revue scientifique The Lancet, le 29 octobre 2021, a analysé les infections au sein d’un même foyer. Elle conclut : «les personnes entièrement vaccinées présentant une infection ont une charge virale maximale similaire à celle des cas non vaccinés et peuvent transmettre efficacement l’infection dans les foyers.»
- Le 26 octobre 2021, selon une communication officielle du ministre de la Santé belge à la Chambre des représentants, près de 71 % de tous les patients COVID dans les hôpitaux de Flandres étaient doublement vaccinés.